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La Meuse accueille la 2eme plus grande centrale photovoltaïque de France.

Centrale photovoltaïque. | Publié le 30/04/2021 16:01

L’ancienne base aérienne située à Marville-Montmédy dans la Meuse a achevé sa reconversion. Construite dans le cadre de l'Otan et servant autrefois aux opérations des avions de chasse de l’armée canadienne, elle se trouve sur un immense terrain de 155 hectares qui accueille, aujourd’hui, la deuxième plus grande centrale photovoltaique de France après celle de Cestas en Gironde.

La centrale sera opérée conjointement par la société TSE et la société Enerparc. Les deux sociétés ont investi 40 millions d’euros chacune dans ce projet.

Prévue d’entrer en fonctionnement pour une première partie samedi 1er mai et pour le reste en septembre, elle devrait fournir, à terme, de l’electricité pour 23 000 habitants. C’est ce qu’a expliqué un porte parole de la société TSE dans un communiqué : « TSE va commencer à intégrer progressivement de l'énergie dans le réseau à partir de samedi, et fonctionnera dans son intégralité à partir du 1er juin. L'autre moitié de la centrale, gérée par Enerparc, a pris un peu de retard et entrera en service à son tour vraisemblablement en septembre. Avec une puissance installée de 152 MWc (Mégawatt-crête), la centrale dégagera une production totale d'environ 156 Gigawattheures par an, soit l'équivalent de la consommation annuelle de 23 000 habitants".

En comparaison, la centrale de Cestas dégage une puissance installée de 300 MWc.

Cette deuxième vie pour le terrain fait la joie des représentants locaux. En effet, outre les retombées économiques du projet, ce dernier fait entrer la commune dans la transition écologique par la grande porte. Sans compter les 375 000 euros de loyer par an que devront payer TSE et Enerparc. C’est ce que rapportait Mr Eric Dumont, président de la communauté de communes du Pays de Montmédy, propriétaire du terrain : «Plusieurs éléments font qu'on ne peut que se ravir de ce projet. Au niveau transition énergétique c'est une excellente contribution : la deuxième centrale photovoltaique de France, ce n'est pas rien. Et cela nous permet de maîtriser une friche militaire, ce qui n'est pas simple à gérer".

Restant éco-responsable jusqu’au bout, la société soulignait également qu’elle : «a délégué la gestion des espaces enherbés à un jeune éleveur ovin local en agriculture biologique qui a pu s'installer grâce à ce projet". Donc en lieu et place de désherbant, ce sont des moutons qui vont s’occuper de l’entretien des espaces verts.

Pour Mr Dumont, le site, aujourd’hui, présente plusieurs avantages. Tout d’abord, il offre un « double aspect écologique" : l'installation du jeune berger, et la reconversion d’une partie de la base en petite réserve ornithologique pour la protection du passereau. Ensuite, il renforce "l'attractivité du territoire".

L’élu local se réjouit également du bon accueil du projet par ses habitants. En effet, il rappelle que : "les installations n'ont pas d'impact visuel, ce n'est pas comme des éoliennes, c'est discret".

Cerise sur le gateau, une dernière partie du site pourra même servir aux petits avions de l’aéroclub local et les ULM dans la mesure où la piste et les taxiways de l’ancienne base restent opérationnels. Elle ne sera pas gênée par les panneaux solaires qui sont disposés sur les abords.

Mr Dumont, qui voit loin et qui semble bien décidé à optimiser l’exploitation du site, indique qu’ « avec ses plus de 3 kilomètres de long, la piste pourrait accueillir des appareils gros porteurs, même si ce n'est plus sa vocation".

Publié le 30/04/2021 16:01

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